Soutenir les artistes
Pierre de Seine soutient les artistes contemporains et s’engage pour la démocratisation de l’art auprès de tous les publics.
Ses actions ont permis la création d’un centre d’art au Hangar 107, proposant une programmation internationale accessible à tous, gratuitement.
Enfin, en signant la charte 1 immeuble, 1 œuvre avec le Ministère de la Culture, le groupe s’est engagé à commander ou acquérir des œuvres à des artistes vivants dans le cadre de ses constructions.
Pierre de Seine offre ainsi aux futurs occupants le privilège de vivre au contact quotidien d’une ou plusieurs œuvres d’art, renforçant ainsi le lien social et créant une identité forte à ses bâtiments.
Créée en 2015, la charte 1 immeuble, 1 œuvre a pour objectif d’installer l’art au plus près de chacun, dans des bâtiments privés. Elle s’inscrit dans la politique ministérielle de soutien à la création artistique et de diffusion des arts plastiques auprès du public le plus large.
• 16 décembre 2015 Lancement de la charte 1 immeuble, 1 oeuvre
• 80 acteurs de l’immobilier signataires de la charte en 2023
• Plus de 650 œuvres ont été installées dans le cadre du programme

Dans notre programme le Hangar 107 : Nous avons créé un Centre d’art contemporain.
La Collection Hangar 107 s’illustre dans la découverte de nouveaux talents. Tremplin de jeunes artistes exposés pour la première fois ou jusqu’alors inconnus en Europe, elle a pour objectif d’offrir à nombre d’entre eux une renommée régionale et nationale. À travers son engagement dans l’art urbain, le Hangar 107 affirme son engagement unique pour l’art.
Véritable pionnier de l’art urbain, le Hangar 107 s’investit dans la promotion de l’art de son temps et pose, dès 2017, le principe d’un engagement dans la durée envers les artistes de toute nationalité. Afin d’inscrire cette relation dans le temps, le mécénat de la Collection Hangar 107 n’est pas une opération ponctuelle liée à une mode mais un choix affirmé de façon pérenne.


Lek, le camouflage de verre.
Artiste contemporain issu de la scène graffiti parisienne, Lek (de son vrai nom Frédéric Malek) développe un style nourri par ses années d’études d’architecture. Le lettrage, l’abstraction et le futurisme signent son travail. Choisi par Pierre de Seine pour la création d’une fresque de grande d’envergure réalisée dans le cadre du projet « 1 Immeuble, 1 Œuvre », Lek est intervenu sur « Hémisphère », un immeuble de bureaux de 2 130 m2 à Isneauville près de Rouen.
Bâtiment d’architecture moderne, il accueille des startups et de grandes entreprises. Sa façade de verre est sublimée par un élégant camaïeu d’ocres choisis par Lek pour peindre ses motifs sérigraphiques élégants et minimalistes. Inspiré par le tissu urbain et son réseau de circulations, l’artiste laisse filtrer la lumière à travers ces vitraux contemporains, discrets à l’extérieur mais d’une grande clarté vus de l’intérieur.
Cette œuvre d’art permanente peut être vue au bâtiment Hémisphère à Saint-Martin-Du-Viver (France).
Thomas Canto, Concrete expansion
Cette oeuvre nommée CONCRETE EXPANSION a été réalisée grâce à une étroite collaboration entre Thomas Canto, Pierre de Seine et l’équipe d’architectes tout au long du processus afin que la sculpture s’intègre parfaitement à la structure du bâtiment. En acier peint et ses dimensions sont de 10 x 6 x 5 mètres.
La structure donne une sensation de développement, d’expansion au spectateur et rend le bâtiment vivant.
Ces effets renvoient directement à la part d’art optique caractéristique des œuvres de Thomas Canto.
En même temps, il fait référence à l’architecture Brutaliste, magnifiant le béton brut utilisé pour la construction de cette structure.
Cette œuvre d’art permanente peut être vue au bâtiment Hermione à Isneauville (France).


RERO, Artiste urbain
« L’œuvre, c’est l’intervention »
Entre art urbain et conceptuel, Rero recourt à l’écriture pour mieux mettre en critique le régime visuel contemporain. Cette démarche décline sur divers médiums un même programme : WYSIWYG (« What you see is what you get »). Elle se fonde sur un système visuel propre à l’artiste, qui consiste en une série de textes écrits en police Verdana, en lettres capitales et barrés d’une fine ligne horizontale. Le procédé, de l’ordre de l’oxymore, met en question les lieux où s’inscrivent les œuvres, et vient souligner l’écart entre les faits et leur énoncé, entre les normes et les conduites, entre le réel et le virtuel. Il permet à l’artiste d’assumer un regard critique sur le monde et de souligner les contradictions et ambivalences qui structurent la doxa contemporaine. Il évoque ainsi le cheminement d’une pensée en mouvement, qui se méfie des certitudes et des dogmes, et que RERO nourrit de nombreuses références à la philosophie, la sociologie ou la psychologie.
Cette œuvre d’art est située dans la résidence les deux rives Rouen.
MOMO, Artiste américain
« Les personnes en marge de la société me semblent toujours plus inspirantes ».
Né en 1974 à San Francisco, MOMO, affiche une trajectoire singulière. Contrairement à la plupart des artistes oeuvrant dans l’espace public, ce n’est pas par le graffiti qu’il est venu à l’art urbain, mais au gré de ses très nombreux voyages.
Le premier d’entre eux, en 1991, l’amène à passer un été en Europe. Muni d’un pass Interail, MOMO sillonne le Royaume-uni, la France, l’Allemagne, l’Espagne. Il y découvre les free parties en plein essor. Le côté DIY de la culture techno, mais aussi l’abstraction de la musique électronique, auront par la suite une certaine influence sur sa pratique.
Cette œuvre d’art est située dans la résidence les deux rives Rouen.


RERO, Le buste
Du haut de ses 3,70 m, l’œuvre Loading de Rero accueille les visiteurs jusqu’en début 2024 au Hangar 108 sur les quais de Seine à Rouen. Le buste vient conclure la campagne « Rouen carrément barrée », également imaginée par l’artiste français.
L’oeuvre fait partie d’une série de bustes représentant le peintre historique Antoine Coypel, à qui l’on doit entre-autres la décoration du plafond de la chapelle du Château de Versailles. La série artistique, mélangeant sculpture classique et contemporanéité a pour ambition de s’interroger sur l’identité et sur l’avenir du Monde. Au travers d’inscriptions modernes, en décalage avec la sculpture classique, l’artiste invite les visiteurs à la réflexion, en offrant une critique de nos modes de fonctionnement et de consommation.
Cette oeuvre sera exposée dans les parties communes de la résidence les portes du chapitre.
La Galerie
Au cœur de la copropriété Villa Saint Maclou, une expérience artistique exceptionnelle attend ses visiteurs.
Située en face de l’aître Saint Maclou, un lieu empreint d’histoire et de mystère, la galerie est un hommage au riche héritage rouennais.
Vous y retrouverez une oeuvre de Julien Colombier : Peintre autodidacte, Julien Colombier travaille essentiellement au pastel gras, à la craie et à l’acrylique sur fond noir. Sur papier, toile, bâche, mur, bois, textile, l’artiste réitère une série de motifs obsessionnels, qui s’inspirent à la fois du graffiti, de l’art japonais et de ses voyages. A la lisière du pictural et du décoratif, ses œuvres composent les fragments d’un monde végétal luxuriant et coloré.
La galerie célèbre également la créativité contemporaine. À côté de l’histoire, s’y retrouve l’art contemporain, une juxtaposition intrigante de styles et de visions.
L’atmosphère de la galerie est empreinte de l’essence même de la Villa Saint Maclou, alliant élégance et authenticité.
La galerie est visible dans la résidence la Villa Saint-Maclou à Rouen.


RERO – Le Buste